01 novembre 2006

Identifier Un Point De Repère Valable.



Plusieurs instances émérites commentent les conséquences néfastes, souvent désastreuses, que la civilisation produit non seulement sur l’environnement et l’écologie en général mais sur l’humain lui-même. Malgré l’assujettissement économique qui astreint le raisonnement, il faudrait trouver le courage d’intervenir avec toute l’efficacité dont l’humain est capable. Les notions scientifiques et la technologie contemporaines placent à notre disposition des moyens puissant nous rendant capables de traiter convenablement les impératifs.
Selon Edgar Morin, c’est l’irrationalisme dont l’homme est capable qui amène le dépassement. En essayant d’atteindre l’impossible nous cherchons des solutions et les découvertes qui s’ensuivent répondent bien souvent à d’autres maux. D’après Descartes, penser c’est utiliser sa raison pour réfléchir sur les doutes qui surgissent en nous. La raison nous permet de distinguer le plausibles de l’invraisemblable. La méthode scientifique est source de technologie et cette dernière est nécessaire à la progression du savoir. Il est notable que sur Terre la principale sphère de recherche se situe au niveau industriel et tente de répondre aux besoins du marché de consommation. Rares sont les recherches qui s’exercent à l’écart de l’industrie, en retrait des sentiers battus.
Il est difficile d’être à jour sur les dernières découvertes et sur les connaissances modernes, car les développements en matière de physique s’éloignent toujours plus de la compréhension populaire. Il faut savoir, toutefois que les chercheurs avancent continuellement. La frontière de l’inconnu recule sans cesse. Mais nombre de découvertes capitales pour la société humaine ne trouvent pas d’application, étant donné que l’intérêt se situe au niveau industriel et militaire uniquement. Et c’est là le drame. L’innovation technique n’est pas un véritable progrès, à long terme. L’innovation technique ne peut être un véritable progrès que combinée à un pas en direction de l’humanisme. Les moteurs à explosion. Les engrais chimiques. Les armes. Les appareils de défenses. Les centrales thermiques et nucléaires. Les complexes industriels et les mégalopoles tentaculaires ne sont pas un véritable progrès à cause du gaspillage de ressources. Des effets effroyables qui en découlent. Du gigantisme monstrueux des constructions. De ces zones parsemées de béton et des risques encourus. On joue avec un feu qu’on ne peut éteindre.

Un savant visionnaire et plein de sagesse, Nicolas Tesla, a offert au monde un véritable progrès. Il nous a donné le courant polyphasé, le courant alternatif, la transmission pratique d’énergie électrique. Il nous a aidés à lancer le XXè siècle électrique. Sans Tesla nos villes seraient toujours dans la pénombre. Mais le pouvoir d’alors a occulté l’œuvre de Tesla, parce qu’il était sur le point de supprimer le compteur d’énergie. C’était un magnifique génie. S’il avait pu poursuivre son travail, le monde aurait une science en avance de cent ans sur celle d’aujourd’hui. Dans un laboratoire du Canada, à Vancouver, se réalise un véritable progrès. John Hutchinson travail depuis de longues années dans le secteur des forces électromagnétiques. Il a répété et approfondi plusieurs expériences de Tesla. Hutchinson fait le véritable électromagnétisme, l’électrogravitation, le véritable travail de Tesla. Wittaker, Kasmachiev et Antoine Priori ont conduis des expériences dans lesquelles ils ont montré qu’on peut guérir toutes les formes de maladies. Thomas Bearden a réalisé des mécanismes qui fonctionnent, qui produisent de l’énergie propre, de l’électricité, à partir du milieu ambiant. John Todd fabrique des mécanismes et des processus totalement écologiques. Ces chercheurs font partie d’un nombre croissant de scientifiques qui ont compris qu’en appliquant à la physique les lois naturelles de l’univers, la science accède à des secteurs jusque-là méconnus.

La progression des connaissances scientifiques dépasse dans plusieurs domaines les besoins du marché de consommation. À défaut de pouvoir réaliser des applications pratiques mais économiquement inutiles, nous devons savoir qu’en retrait du capitalisme la progression réelle des connaissances nous permettrait de franchir les frontières du savoir et d’introduire notre compréhension à des phénomènes captivants.

En outre, bien que des indices attestant la présence des Étrangers dans l’atmosphère de la Terre soient éparpillés dans l’histoire, depuis 1947 la vague moderne du phénomène a donné lieu à des excès de part et d’autre du raisonnable. Même si la nature concrète du phénomène porte toujours à controverse, la probabilité qu’il incarne induit une prise de conscience profonde. La période durant laquelle l’activité des Étrangers s’est accentuée coïncidait avec l’accession de l’humanité à l’espace. La mise en orbite du premier satellite et l’exploration lunaire ont fait pleuvoir sur l’entendement populaire des concepts hors du commun, des notions étonnantes et une technologie fascinante.

Aujourd’hui nous sommes capable d’envisager sainement que la présence des Étrangers est un fait bien réel. C’est l’événement le plus important de l’ère Christique. Du même coup nous constatons qu’il existe une différence immense entre les visiteurs et les habitants de la Terre. L’étude objective qu’on réalise sur les éléments reliés aux manifestations des Étrangers enrichie l’entendement technologique que nous avons en rapport avec les lois de la physique. Elle ouvre l’esprit sur une perception émancipée de l’univers. Quel genre de société peut-elle leur permettre de se rendre jusqu’ici? Quel type de Régime parviendrait à mettre en œuvre les moyens appropriés au voyage dans l’espace? Alors que voyager dans l’espace, actuellement, relève de la fiction il y a pourtant des gens qui se rendent et circulent dans l’atmosphère de la Terre par des moyens totalement inconnu. Comment donc ces véhicules fonctionnent-il?

Cette question est fondamentale lorsqu’on constate les limites des moyens de transport conventionnels sur Terre.

Mais le questionnement ne doit pas s’arrêter là.

Nous devons avouer que l’opération des Étrangers a remarquablement atteint son objectif car la notion d’êtres venant d’autres planètes a bel et bien été inséré dans l’entendement populaire. Il apparaît désormais tout à fait légitime de considérer que nous ne soyons pas seul dans l’univers. À quoi peut bien ressembler une quelconque civilisation étrangère? Alors que nous nous sensibilisons graduellement à l’environnement galactique dans lequel se trouve notre système solaire, nous pouvons établir que l’avancement technologique d’une civilisation se mesure au moyen de transport dont elle se sert. Celui-ci faisant appel à la somme des connaissances de pointe, il témoigne de la civilisation qui l’a réalisé. De toute évidence, le moyen de transport des Étrangers ne pollue pas.
Actuellement, la problématique fondamentale ne regarde pas autant la monnaie que ce qu’on en fait. Il n’existe pas de crise monétaire. Il y a énormément de monnaie. Il n’y en a jamais eu en telle quantité. Des gens accumulent des sommes fabuleuses. Les sommes sont prélevées dans les communautés puis retenues quelque part ailleurs. Des montants tellement volumineux que nous avons peine à se les figurer. Pourquoi donc les détenteurs de ces capitaux ne prennent-ils pas soins des institutions et des infrastructures collectives? Aujourd’hui, nous avons la technologie qui nous permet de confectionner, entre autres, un moyen de transport totalement sain, longuement durable et parfaitement sécuritaire. Carrosserie moulée mono-pièce inaltérable. Châssis en titane. Moteur-roue électrique. Combinaison piles rechargeables et piles solaires. Système de gestion informatique intégral. Dispositif de guidage autonome. Détection radar, infrarouge, écholocation. Mécanisme analytique anticipant. Communication multiplex audiovisuelle. Système d’imagerie augmentée. Nous somme capable de fabriquer un véhicule parfait. C’est uniquement en termes économiques qu’un tel appareil ne serait pas rentable. Dans notre civilisation, les coûts financiers de chaque opération interdisent l’application qualitative qui correspond aux moyens techniques disponibles. Les réalisations adéquates en terme de société et en fonction des humains sont ainsi prohibées. C’est sans doute la disparité déterminante entre le Régime qui existe chez les Étrangers et celui qui prévaut sur la Terre.

En tant que probabilité, le phénomène des étrangers fournit suffisamment de matière pour amorcer une analyse rigoureuse et pour produire une étude comparative intéressante. Il faut garder à l’esprit que les étrangers conçoivent les choses d’une façon diamétralement opposée à la nôtre. Leur technologie et leur rares commentaires font preuve d’une différence trop importante entre nos civilisations respectives. En ce domaine la fiction n’est d’aucun secours car l’imagination ne s’appuie pas sur des principes rationnels. Seule la projection réaliste fondée sur des données scientifiques probantes peut nous conduire à des concepts vraisemblables. Une civilisation humanoïde possédant les moyens qui permettent de traverser les distances dans l’univers aura forcément franchit au préalable certaines étapes incontournables. Il serait captivant de connaître véritablement de quelle façon ils auraient réglé les problématiques que rencontrent probablement toute civilisation, à un moment donné de leur histoire.
La première préoccupation concerne l’environnement. Pas seulement le terrain écologique mais le milieu que nous occupons en tant qu’individu. Notre espace opérationnelle quotidien. Les endroits où nous évoluons chaque jours. Cela fait immédiatement référence à notre mode de vie, à notre façon de voir les choses. Quelles sont nos priorités, ce à quoi nous attachons de l’importance. Notre échelle de valeurs dépend des objectifs auxquels nous souscrivons. Ce que nous allons décider de sauvegarder provient de ces choix. Une forêt, ou du papier. L’avenir d’une civilisation est tributaire de la qualité de son intégration au milieu dont elle est issue. Il ne peut pas en être autrement. Tant qu’elle ne parviendra pas à s’intégrer harmonieusement jusqu’à contribuer à l’essor écologique de tous les systèmes qui y vivent, une foule de problématiques surgiront l’une après l’autre sans jamais laisser de répit. Parce que la pollution affecte tout le contenu de l’atmosphère qui fonctionne en circuit fermé. Les répercussions d’un type d’activité s’inscrivent tout simplement dans le cycle écologique. Aussi longtemps que la civilisation évitera la question, ses difficultés croîtront.

L’économisme considère l’individu comme un simple pourvoyeur de billets vert que la finance tient en laisse et perçoit le milieu comme un buffet de ressources. Il n’a pas d’autre préoccupation que celui de la maximisation du profit. Le système économique est un parasite qui se développe au dépend de son hôte, c’est à dire l’environnement qu’il consomme. L’expansion d’un tel type d’activité à une planète entière mène à l’épuisement intégral des ressources dans un délai assez court. Cent ans? Peut être deux cents ans? Cela dépend du rythme d’expansion mais il n’atteindra pas cinq cents ans. Le milieu sera complètement ruiné bien avant.
Dans ce contexte, il devient impératif de réaliser que le régime économique n’est pas canon. Saisir qu’il existe une autre façon d’envisager l’existence que celle de gagner des sous pour pouvoir acheter des biens et les empiler sur la planète. Il y a une autre manière d’administrer une communauté que celle de favoriser l’employabilité des gens. Il se trouve d’autres objectifs pour une société que ceux visant à faciliter l’importation et l’exportation de marchandises. Il y a autre dessein pour une civilisation que la croissance économique.
Je suis certain que dans l’univers le rôle d’une civilisation n’est certainement pas de produire des déchets.

Datajy@hotmail.com
DataJY
2006